Un accord amiable peut être conclu entre les parties au litige en cas de partage des biens, paiement d'une pension alimentaire, etc. Un tel accord nécessite une formalisation juridique. Si vous parvenez à un accord, par exemple, lors de la division d'un appartement, cela ne sera indiqué que dans le titre de propriété.
Instructions
Étape 1
Essayez de résoudre le conflit sans aller au tribunal. Si vous êtes d'accord sur tous les points des exigences proposées, adressez-vous à un notaire. Il existe des services spéciaux pour les formalités administratives chez les notaires. Donnez un projet pour rédiger un accord. Moyennant des frais, ils vous l'écriront. Vous pouvez télécharger vous-même un exemple d'accord de règlement sur Internet, rédiger le vôtre à son image, puis le notarier.
Étape 2
Dans l'accord, les parties contractantes indiquent les actions qu'elles s'engagent à accomplir les unes par rapport aux autres. Par exemple, dans le partage des biens après un divorce, le mari abandonne sa moitié et la femme, à son tour, s'engage à ne pas demander de pension alimentaire. Assurez-vous de prendre en compte toutes les nuances lors de la rédaction d'un accord. Vous ne pourrez plus déposer de réclamation en justice après cette procédure.
Étape 3
Si vous ne pouvez pas parvenir à un accord mutuel par vous-même, intentez une action en justice. Le juge étudiera la possibilité de rédiger un accord en vue du procès. Vous pouvez vous mettre d'accord lors de l'audience sur l'affaire, au stade de l'exécution du jugement, lors de l'audience d'appel. Dans ce cas, le contrôle de la légalité de l'accord amiable est confié au tribunal. Les parties exposent oralement leurs conditions au cours de l'assemblée. Ces exigences sont consignées au procès-verbal et signées par le demandeur et le défendeur. Lors de la conclusion d'un accord en justice, les parties peuvent convenir du paiement des frais et dépens de l'assistance d'un avocat. Sur la base du protocole, le juge statue sur la conclusion d'un accord transactionnel. La paix accord a la force d'un document d'exécution. En le signant, les parties conviennent des modalités de règlement de cette question et renoncent à tout recours l'une contre l'autre dans ce cas.